Cet été, la Fondation de l'Hermitage à Lausanne, est une vaste exposition de travaux d'Henri Мангена, un artiste qui aimait la couleur, et dont le poète Guillaume Apollinaire appelait «сладострастным peintre». L'accent sur le début de carrière Мангена, en particulier de son фовистскому période. Il a osé défier les normes conventionnelles avec ses coéquipiers, parfois supérieurs à la recherche de nouveaux moyens d'expression par la couleur. De luxe chromatique de la peinture de cette période reflètent le talent rare franais.
Henri Манген (1874 – 1949), qui parvint la joie de vivre à travers аркадские thèmes, nu, aux paysages, scènes de la vie familiale et des natures mortes. Encore dans les années de formation de Gustave Moreau, il a ouvert l'impressionnisme et régulièrement exprimé l'annonce de la sensualité.
À l'exposition
«Henri Манген. Le plaisir de la couleur» présenté près d'une centaine de peintures, d'aquarelles et de dessins. La première section est consacrée à la ans de la formation de l'artiste, puis l'accent se déplace à фовистскому une période et à des travaux de Saint-Tropez, sur le qui vive la nature de la Méditerranée transmise aux couleurs saturées. Ces éblouissantes de travail – principalement des paysages et des nus – transmettent la montée, qui a connu Манген dans entourait le paradis et qui a fait monter sa créativité à la hauteur. Un ensemble de dessins et d'aquarelles illustre l'utilisation précoce d'un technicien, ont joué un rôle clé dans la recherche de l'équilibre de la composition et de la libération de la couleur à l'aube du XXÈME siècle.